#47 Auvergne

Chère Colette,
Je viens de relire Claudine à l’école, parce que depuis que j’ai douze ans j’aime Claudine et j’aime l’école. Vous décrivez si bien les bois, les sapinières et les odeurs d’enfance. Et puis je suis tombée sur Paris à ma fenêtre que vous avez écrit 44 ans plus tard, en 1944 précisément.

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